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Rencontrez notre première vice-présidente

Nathalie Lamontagne, PAA, LL.B., ACS

Nathalie Lamontagne, PAA, LL.B., ACS

Connaissez-vous Nathalie?

Nous souhaitons que nos membres connaissent mieux les personnes qui dirigent l’Institut d’assurance de dommages du Québec. Dans ce numéro, nous vous offrons donc de faire la connaissance de la première vice-présidente de l’IADQ.

Nathalie Lamontagne est avocate, membre du Barreau du Québec depuis 1989, et détentrice du titre de PAA, obtenu en 1992. Son implication à l’Institut n’est pas d’hier. Déjà, entre 1992 et 1996, elle a siégé au conseil d’administration. Puis, alors qu’elle faisait ses cours de maîtrise en droit, elle a enseigné le cours du programme de PAA traitant de l’assurance de personnes.

Elle a d’abord été à l’emploi de La Capitale, au sein de son contentieux, en assurance de personnes et en services financiers. Après 10 ans de loyaux services, elle passe à la SSQ, en assurance invalidité. Mais l’appel de l’assurance de dommages est irrésistible : en 2003 elle joint le Groupe Promutuel à titre de secrétaire générale et affaires légales.

Depuis 2006, elle siège au conseil de l’Institut. Elle est devenue première vice-présidente en juin 2008.

Elle a pu noter que le rôle de l’Institut a dû se modifier depuis les 20 dernières années :

« Au début des années 90, les règles de formation étaient beaucoup moins encadrées. À cette époque, ni le BSF ni l’AMF n’existaient. La réglementation exige désormais que tout intervenant du domaine détienne un permis particulier et maintienne à jour ses connaissances en obtenant un minimum d’unités de formation continue. Les nouveaux modes technologiques sont également à l’ordre du jour, facilitant ainsi l’accès aux connaissances pour l’étudiant et le professionnel du domaine. Le mandat d’administratrice est donc différent de ce qu’il était il y a dix ans et les réalités actuelles nous imposent d’utiliser de nouveaux outils, de façon novatrice. » 

Voilà donc un bref portrait de celle qui dirigera les destinées de l’IADQ à compter de juin prochain. Elle est l’exemple vivant de ce qu’il faut pour faire une carrière exemplaire : à la base, une solide formation et, par la suite, un travail constant et une véritable implication personnelle, à la fois pour redonner ce que l’on a reçu à ceux qui nous suivent et faire changer les choses qui ne nous semblent plus adaptées aux besoins.